dimanche 29 janvier 2012

Abidjan sent il toujours?.


COTE D'IVOIRE: Abidjan, on urine partout dans les rues



Par François Mérouze | 28/01/2012 | 03:20:59

Abidjan, toujours l'une des capitales les plus sales du continent, ici deux individus urinant tranquillement en pleine rue ce vendredi au Plateau (ph FM)

ABIDJAN LE 28 JANVIER 2012 © koaci.com -Abidjan sent pipi, disons le tout net et sans euphémisme. De Cocody à Yopougon en passant par la commune du Plateau, centre des affaires, le constat est le même. L’odeur de pissat oblige parfois, à certains endroits, à tenir le nez entre le pouce et l’index pour ne pas souffrir le martyr de ces émanations nauséeuses qui empestent les coins et recoins même au cœur de la cité des affaires.

Ce n’est pas vouloir ternir l’image des maires des communes de la capitale que de dire qu’Abidjan sent l’urine. Loin de là. Et pour dire comme un auteur français célèbre, « sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ». En d’autres termes, si personne n’a le droit de dénoncer les pratiques qui sont à l’origine de cette pollution, il ne faudra donc point s’attendre à des louanges pour quelques coups de balai donnés ici et là en grande pompe.

Pour qu’Abidjan devienne un jour une ville propre à même de rivaliser avec les grandes capitales du monde, il faut bien que des voix s’élèvent pour dénoncer des comportements qui frisent avec la sorcellerie. Au premier rang de ces pratiques à décrier, il y a le fait que les ivoiriens n’hésitent pas en pleine rue à sortir le zizi pour arroser les murs, les pelouses parfois même les artères à défaut d’avoir trouvé un caniveau. Les plus grands abonnés à cette pratique sont les hommes même si quelques rares fois des femmes sont obligées de se mettre à l’aise en pleine air parfois malgré les regards de voyeurs indélicats.

Triste réalité que plusieurs personnes surprises en train d’uriner dans les rues d’Abidjan en plein jour tentent de justifier par le fait qu’il n’existe pas assez d’urinoir public. Cela est vrai. En effet pour une population de plus de 3 millions de personnes à Abidjan, le nombre de latrines publiques actuel est loin voire très loin de satisfaire les envies pressantes des abidjanais. De plus la propreté dans les WC publics existants laisse à désirer. Même les toilettes qui sont logées dans les bureaux au sein des administrations publiques font peur aux usagers. Certains d’ailleurs ne s’y rendent jamais de peur de contracter de sales maladies.

De même les urinoirs publics ont aussi la réputation d’être des lieux de propagation de nombreuses maladies transmissibles par l’urine ou simplement à partir de l’odeur de l’urine. Mais est-ce pour autant que les murs du jardin public au plateau, les environs des poubelles et les caniveaux dans les quartiers doivent être utilisés comme urinoirs ? A-t-on seulement conscience du danger que cela représente de pisser partout dans les rues ?

Que penser alors de ceux qui au niveau du boulevard Nangui Abrogoua, à Adjamé, voie quasiment occupée par des commerçantes de denrées alimentaires ? Ceux-ci, arrosent les murs qui séparent les deux artères à longueur de journée? Pour ces derniers, l’argument des urinoirs insuffisants ne tient pas la route puisqu’il existe des toilettes non loin au niveau de la mosquée et dans les marchés environnants. Pourquoi donc préfèrent-ils, ces gens qui ne sont pas des enfants, uriner dans les rues ou sur les voies publiques plutôt que de se rendre dans les espaces réservés à cet effet ? Et pourtant ce sont les mêmes qui se plaignent que la capitale ne soit plus digne de porter le nom de Perle des Lagunes. Comment pourrait-il en être autrement si cet acte civique simple qui consiste à respecter l’environnement n’est pas respecter par les populations ? C’est ici l’occasion d’interpeller l’attention du ministère de la salubrité urbaine. Il est inconcevable qu’Abidjan puisse souffrir longtemps du manque de toilettes publiques digne de son rang. La lutte contre l’insalubrité devrait prendre aussi en compte la chasse aux pisseurs de rue car il y va de la santé de tous. Mais dans un premier temps, il serait important de mener de vastes campagnes de sensibilisation pour interpeller les abonnés à cette pratique.

Préserver notre environnement est un devoir citoyen qui ne demande parfois que notre volonté dans un premier temps. Respecter son environnement c’est respecter la vie et chaque ivoirien devrait s’y engager dès aujourd’hui pour une Côte d’ivoire plus propre.

François Mérouze, KOACI.COM ABIDJAN, copyright © koaci.com

Vive la CAN

COTE D'IVOIRE: Abidjan, délinquance à tous les coins de rue


COTE D'IVOIRE: Abidjan, délinquance à tous les coins de rue

Par Akkou | 29/01/2012 | 11:44:18

ABIDJAN LE 29 JANVIER 2012 © koaci.com - La capitale ivoirienne à l'image du pays est de moins en moins sûre. Crise sociale et politique sans précédent oblige, libres de tout mouvement, faute de force de l'ordre inactives, les délinquants connaissent une période faste et un accroissement de leur nombre lié corolairement à un chômage de masse chez les jeune aussi regrettable qu'inquiétant.

La délinquance est arrivée à son paroxysme à tel point qu'elle soit devenue selon nos observations auprès des populations, l'une des principale préoccupations avec l'emploi des ivoiriens et pour cause, pas un jour ne passe sans que les témoignages de cas de vol, agression, viol ou autre escroquerie nous soit rapportés avec la désolation du sentiment d'abandon de l'Etat. Ne sachant plus vers qui se tourner un nombre croissant de victimes se ruent vers nos rédactions pour tenter de trouver une oreille attentive à leurs problèmes.

Outre l'interactif, le terrain offre toute sorte de spectacle comme ce vendredi en plein plateau quand devant des policiers immobiles et sans quasi autre réactions que de se lever, un passant en communication, téléphone à l'oreille en marchant, se verra arracher sauvagement son téléphone. Tentant malgré tout de courir après le malfrat en short tapette, aussi sale que violent, l'homme d'une quarantaine d'année au chômage, récemment licencié sans explication du port autonome, qui était venu difficilement au plateau pour déposer des CV restera complétement désabusé assis les mains sur la tête sur une bordure. Nous l'approcherons, son témoignage d'après agression sera édifiant. "Non je ne suis pas choqué mais perdu, qu'est devenu mon pays, j'en veux même pas aux policiers car ici c'est chacun pour soi, on se cherche tous, avant il fallait partir ailleurs pour se chercher aujourd'hui c'est dans notre propre pays qu'on se cherche, j'étais juste venu pour déposer des CV, il me restait un téléphone après la crise et voilà que je me retrouve sans rien et injoignable. Vous savez pour nous autre, acheter un téléphone c'est un énorme sacrifice même ceux de 3500fcfa car on a même plus ça à la maison". Le polcier qui tentait de lui venir en soutien nous indiquera fatalement quant à lui que l'ampleur de la délinquance est tel ces derniers temps qu'eux même ne savent plus quoi faire. "Vraiment c'est de plus en plus compliqué, c'est de plus en plus dur donc y'a de plus en plus de voleurs qui viennent des quartiers pour voler au plateau ici. Ils sont bien organisés, nous autre on a pas les moyens de les combattre et on nous écoute pas au niveau du ministère et surtout on craint aussi pour nos vie, trop de laisser aller..." témoignera l'agent proche de la retraite lui aussi désabusé par la réalité.

En dehors de ce fait direct rapporté, celui d'Aicha une femme habitant avec ces trois enfants à Koumasi, violée par deux hommes ayant forcés sa porte en pleine nuit et renvoyée chez elle sauvagement après une tentative de plainte dans un commissariat ce jeudi ou encore Max dépouillé de tous ses biens à son domicile ce vendredi soir par des brigands rentrés par effractions armes à la main dans sa modeste demeure d'Adjamé voire d'Augustin frappé à sang en pleine journée par deux malfrats alors qu'il tentait courageusement de récupérer son sac contenant un ordinateur à Cocody St Jean toujours ce vendredi.

Vous l'aurez compris avec ces quelques exemples tirés de la litanie des cas recensés par notre réseau, on ne dort et se ballade pas tranquillement en ces temps de crise à Abidjan avec cette même interrogation "mais que fait la police?".

Akissi Kouamé, KOACI.COM ABIDJAN, copyright © koaci.com

jeudi 26 janvier 2012

Il produit tous les sons que l'occident aime entendre, mais entre les paroles et la realite, il y a une realite faites de mensonges perpetuels



PARIS (Reuters) - Le président ivoirien Alassane Ouattara a demandé jeudi aux entreprises françaises de revenir dans son pays et fait appel au soutien de Paris pour obtenir un accord de désendettement avec le Fonds monétaire international (FMI) dès le premier trimestre.
Reçu à l'Elysée avec tous les honneurs, au deuxième jour d'une visite d'Etat en France, il a signé avec Nicolas Sarkozy un nouvel accord de défense bilatéral qui prévoit pour l'essentiel une assistance à la refonte des forces de sécurité ivoiriennes (armée et gendarmerie).
Dans une déclaration en compagnie du président français, il a remercié la France pour son intervention aux côtés de l'Onu qui a mis fin en avril dernier aux violences déclenchées par le refus de son prédécesseur Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à l'élection présidentielle de fin 2010.
"Sans elle, il y aurait eu, en Côte d'Ivoire, un génocide pire qu'au Rwanda" au lieu des quelque 3.000 morts recensés, a-t-il dit dans une interview au journal Le Monde.
A l'image de ceux déjà conclus par la France avec six autres Etats africains, le nouvel accord de défense se substitue à ceux signés après les indépendances africaines et ne comporte plus de clauses secrètes comme celles qui avaient permis des interventions en soutien de régimes contestés.
"L'armée française n'a pas vocation à s'ingérer ni de près ni de loin dans les affaires de la Côte d'Ivoire, cette période (...) est définitivement révolue", a assuré Nicolas Sarkozy.
Il prévoit le maintien dans le pays d'un contingent de 250 à 300 militaires français chargés exclusivement d'aider la Côte d'Ivoire à rebâtir une véritable armée nationale après les troubles de l'ère Gbagbo, qui avaient divisé le pays.
Alors que la réconciliation entre les deux camps est à peine engagée, Alassane Ouattara aurait souhaité un dispositif plus important. "La France doit rester dans notre pays plus longtemps et de manière plus substantielle. Je comprends les contraintes budgétaires mais Paris doit bien prendre en compte la fragilisation de l'Afrique du Nord", a-t-il dit au Monde.
ASSEOIR LA DÉMOCRATIE
Nicolas Sarkozy a salué dans son invité "un président qui tient ses promesses et qui a une obsession, asseoir la démocratie et le progrès dans ce pays", longtemps le partenaire privilégié de la France en Afrique de l'Ouest.
Alassane Ouattara, qui sera reçu vendredi au Medef, le patronat français, a appelé les "opérateurs privés français" à revenir dans son pays pour participer à sa reconstruction.
Il a relevé que l'intervention militaire de l'Onu et de la France avait permis d'éviter début 2011 un exode de la communauté française analogue à celui qui avait suivi d'autres événements sanglants en 2004.
"Maintenant, nous sommes de retour sur le chemin de la paix et la relance économique est totalement engagée", a-t-il indiqué en faisant valoir que la croissance de l'économie ivoirienne devrait rebondir de 8% à 9% cette année.
La France est le premier partenaire commercial de la Côte d'Ivoire, 12.000 Français y vivent encore et plusieurs de ses grands groupes, notamment Bouygues ou Bolloré, ont pignon sur rue dans ce pays jadis prospère qui est le premier producteur de cacao du monde.
Alassane Ouattara a d'autre part demandé à la France d'intercéder auprès du FMI et de la Banque mondiale pour que la Côte d'Ivoire bénéficie "dès le premier trimestre" d'un allégement de dette au titre de l'initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE).
"La Côte d'Ivoire a maintenant mis en ouvre toutes les mesures demandées par les institutions de Bretton Woods, notamment en matière de réforme de la filière café-cacao, en matière d'énergie et il n'y a plus de raison qu'il y ait une période d'observation et d'attente", a-t-il dit.
Nicolas Sarkozy a abondé dans le même sens.
"La Côte d'Ivoire a besoin qu'on annule sa dette et qu'on puisse l'aider a partir de l'avant, il n'y a pas de temps à perdre !".
Yann Le Guernigou, édité par Yves Clarisse

Accord de Defense... ADO prefere rester dans les bras de la France pour son salut.

La Croix
http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/Monde/Cote-d-Ivoire-un-nouvel-accord-de-defense-avec-la-France-_NG_-2012-01-26-762384

QUEL EST LE NOUVEL ACCORD DE DÉFENSE ET SÉCURITÉ ENTRE LA FRANCE ET LA CÔTE D’IVOIRE ?

Si les termes exacts de ce nouvel accord ne sont pas encore connus, il apparaît que la France n’entend plus intervenir automatiquement en cas de menace du régime en place. Souhaitant mettre un terme à son rôle de « gendarme de l’Afrique », Paris veut diminuer le nombre de ses soldats en Côte d’Ivoire. 
La Force Licorne qui a compté 2 000 soldats au plus fort de la crise post-électorale (elle a prêté son concours à la chute de Laurent Gbagbo le 11 avril 2011), ne devrait plus compter que  300 militaires chargés de la formation de l’armée ivoirienne. 
Alassane Ouattara a pesé de tout son poids pour convaincre Nicolas Sarkozy de ne pas se désengager totalement de son pays. Il compte sur la coopération française pour l’aider à réformer l’armée ivoirienne. 
« Nous souhaitons un accord de partenariat ambitieux et transparent. La France doit rester dans notre pays plus longtemps et de manière plus substantielle. Je comprends les contraintes budgétaires, mais Paris doit bien prendre en compte la fragilisation de l’Afrique du Nord. Il est important que nous ayons une coopération plus forte en matière d’équipement et de formation mais aussi dans le renseignement et la lutte contre le terrorisme »,  a-t-il plaidé dans le Monde (du 26 janvier 2012). 
« Comme tous les accords de nouvelle génération, explique-t-on à l’Élysée, il a vocation à être ratifié par le Parlement et à être rendu public. C’est-à-dire qu’il ne comportera plus aucune clause secrète. »

QUE PRÉVOYAIENT LES ANCIENS ACCORDS DE DÉFENSE ?

Signés au moment des indépendances des anciennes colonies françaises en Afrique au début des années 1960, ces accords, dont la teneur exacte était tenue secrète, structuraient les relations entre l’Hexagone et ces nouveaux États. Paris s’engageait à défendre militairement les régimes en place en échange de quoi, il bénéficiait d’un accès privilégié à leurs ressources naturelles.

DEPUIS QUAND LA FRANCE REDESSINE-T-ELLE SA PRÉSENCE MILITAIRE EN AFRIQUE ?

La rupture date du 28 février 2008. Dans un discours prononcé au Cap (Afrique du Sud), Nicolas Sarkozy annonçait que la France n’avait « pas vocation à maintenir indéfiniment des forces armées en Afrique, l’Afrique doit prendre en charge ses problèmes de sécurité ». 
Il s’engageait à refonder les relations entre la France et l’Afrique sur « le principe de transparence ». De sorte que « contrairement à la pratique passée, (…) tous les accords de défense entre la France et les pays africains seront intégralement publiés ».

OÙ EN EST-ON DE CETTE NOUVELLE POLITIQUE ?

Le nouvel accord défense signé entre la France et la Côte d’Ivoire est le septième des huit accords que le président français voulait renégocier. Depuis le départ annoncé en avril 2010 des troupes françaises stationnées au Sénégal, la France est toujours présente militairement à Djibouti, au Gabon, en Côte d’Ivoire et au Tchad. 
En juillet 2011, Alain Juppé avait également annoncé devant la commissiondes Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, vouloir rapatrier le millier d’hommes engagés au Tchad au titre de l’opération Épervier.
LAURENT LARCHER  

Sarkozy Plonge dans les sondages...Que les vautours se preparent a le conduire en prison.


68% des sondés se disent mécontents de Nicolas Sarkozy.
afp.com/Lionel Bonaventure

Selon le baromètre Ifop pour le JDD, le chef de l'Etat a perdu deux points entre décembre et janvier. "Nous n'avons jamais eu un président de la République en situation de se représenter dans une telle difficulté, commentent les sondeurs. 

Les cotes de popularité de Nicolas Sarkozy et François Fillon ont baissé en janvier par rapport à décembre et atteint respectivement 32% (-2 points) et 47% (-1) d'opinions favorables, selon le baromètre mensuel Ifop publié dans le Journal du dimanche
"A trois mois du premier tour de l'élection présidentielle, nous n'avons jamais eu un président de la République en situation de se représenter dans une telle difficulté dans l'opinion publique", commente dans leJDD.fr Frédéric Dabi, directeur du département Opinion de l'Ifop. 
Dans cette enquête, 3% (-2) des personnes interrogées se déclarent "très satisfaites" du chef de l'Etat et 29% (inchangé) "plutôt satisfaites". Les mécontents restent largement majoritaires, à 68% (+2): 35% (+2) des sondés se disent "plutôt mécontents" et 33% (=) "très mécontents". 
Si elle se situe à un niveau plus élevé que celle de Nicolas Sarkozy, la cote de popularité du Premier ministre baisse aussi et atteint 47% (-1). Parmi les personnes interrogées, 7% (-2) sont "très satisfaites" et 40% (+1) "plutôt satisfaites". 
Le camp des mécontents reste stable à 51%: ils sont 35% (+3) à se dire "plutôt mécontents" et 16% (-3) "très mécontents". 
Avec 
Sondage réalisé par téléphone du 12 au 20 janvier auprès d'un échantillon de 1.874 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). 
 

Vivement que les francais nous debarassent de ce clown de Sarkosy.


"Sarkozy est entré dans une spirale dépressive"
Nicolas Sarkozy évoque directement la possibilité de ne pas être réélu en avril prochain dans des propos rapportés par Le Monde.
afp.com/Lionel Bonaventure

Le Monde rapporte des propos du chef de l'Etat dans son édition de ce mardi, un président pessimiste sur ses chances de réélection. Pour Jean-Luc Mélenchon, l'UMP pourrait lui trouver un remplaçant. Le reste de la gauche n'y croit absolument pas. 

La remontée dans les sondages n'aura été qu'une fugace éclaircie, un cadeau du Ciel pour les fêtes de fin d'année. Depuis, la popularité du chef de l'Etat a replongé, et avec elle, visiblement, son moral. 
Lui que l'on disait confiant dans ses chances de réélection tiendrait en privé des propos bien plus pessimistes, selon Le Monde. "De toute façon, je suis au bout. Dans tous les cas, pour la première fois de ma vie, je suis confronté à la fin de ma carrière." Celle-ci, ajoute-t-il, peut intervenir dans quelques mois ou dans cinq ans. 
La fin, Nicolas Sarkozy y pense donc. Et il en a une idée arrêtée: "En cas d'échec, j'arrête la politique. Oui, c'est une certitude." D'ailleurs, toujours selon Le MondeBrice Hortefeuxaurait tenté de convaincre son ami de trente ans de reprendre l'UMP en cas de défaite à la présidentielle: "Vous voulez que j'anime des sections UMP? Je ne mérite pas ça. Je préfère encore le Carmel, au Carmel au moins, il y a de l'espérance!" 
Il y a un an encore, Nicolas Sarkozy disait vouloir rester deux mandats à l'Elysée puis vivre "la dolce vita". L'avocat de profession n'a jamais caché son envie de faire autre chose que de la politique après son départ de la présidence de la République.  
Un sondage inquiétant pour l'Elysée
Ces propos prêtés au chef de l'Etat ne manqueront pas de jeter le froid dans les rangs UMP, notamment réunis en fin de matinée à l'Assemblée pour leur traditionnelle réunion de groupe. Ils ne les rassureront pas plus sur leur propre sort aux prochaines législatives. 
La situation est inquiétante pour le parti présidentiel. Leur candidat naturel est en chute libre dans les sondages. Le dernier en date, un BVA pour Le Parisien, est catastrophique:Nicolas Sarkozy ne domine aucun de ses adversaires sur l'ensemble des critères retenus. Il parvient à peine à faire jeu (presque) égal avec François Hollande sur la croissance économique (26% contre 33%). Même sur l'insécurité, il est devancé par Marine Le Pen (23% contre 31%) et François Hollande (26%). 
La droite confiante, la gauche prudente
Sans surprise, l'UMP a affiché sa confiance, même après les confidences de Nicolas Sarkozy. "Que le président envisage qu'il puisse perdre en souhaitant avant tout gagner, ça me paraît la moindre des choses. On n'est jamais aussi bon que quand on pense que l'on a des risques de perdre. Les socialistes feraient bien de faire attention de ce point de vue!", assène Lionnel Luca. "C'est mal connaître Nicolas Sarkozy que de croire qu'il va décrocher tout d'un coup parce qu'un meeting -ndr: celui deFrançois Hollande dimanche -a été moyennement réussi", a assuré de son côté Claude Goasguen. 
En face, les réactions sont partagées. Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande, ne veut prêter aucun crédit aux phrases de Nicolas Sarkozy: "Il se cache. Quant aux commentaires qu'il faut faire sur je ne sais quelle confidence, elle n'intéresse pas les Français" 
Bruno Le Roux, membre de l'équipe Hollande est lui plus direct: "Les Français préféreraient qu'il participe à un peu élever le débat, à leur proposer un chemin plutôt que de se lamenter sur une possible fin de carrière." 
Le seul à gauche à se réjouir de ces confidences, c'est Jean-Luc Mélenchon: "Il est entré dans une spirale dépressive et peut-être la droite va penser à lui trouver un successeur, ça s'est déjà produit." 

La repartition de la population en Cote D'Ivoire

The Republic of Côte d'Ivoire

Administrative units

région
département
capitalarea (sq.km.)population
1998-11-21
census
source: Institut National de la Statistique, Côte d'Ivoire.
note: many changes have taken place in the divisioning of Côte d'Ivoire since the last census of 1998, this is just an attempt to get near the current situation.
Région de l' AgnébyAgboville9,093525,211
Département d'AdzopéAdzopé 168,014
Département d'AgbovilleAgboville 244,865
Département d'AkoupéAgboville 73,805
Département d'Yakassé-AttobrouYakassé-Attobrou 38,527
Région du BafingTouba9,033139,251
Département de ToubaTouba 118,588
Département de KoroKoro 20,663
Région du Bas-SassandraSan-Pédro26,9691,395,233
Département de GuéyoGuéyo 54,644
Département de San-PédroSan-Pédro 422,204
Département de SassandraSassandra 152,734
Département de SoubréSoubré 628,574
Département de TabouTabou 137,077
Région du DenguéléOdienné21,000222,446
Département de Madinani  28,412
Département de Minignan  14,879
Département de OdiennéOdienné 173,717
Département de Samatiguila  5,438
Région du FromagerGagnoa6,912542,992
Département de GagnoaGagnoa 366,991
Département de OuméOumé 176,001
Région du Haut-SassandraDaloa22,1951,071,977
Département de DaloaDaloa 440,082
Département de IssiaIssia 261,581
Département de VavouaVavoua 286,182
Département de ZoukougbeuZoukougbeu 84,132
Région des LacsYamoussoukro8,663476,173
Département d'AttiégouakroAttiégouakro 28,322
Département de Didiévi  36,367
Département de TiébissouTiébissou 71,337
Département de ToumodiToumodi 105,645
Département de YamoussoukroYamoussoukro 234,502
Région des LagunesAbidjan12,9493,733,362
Département d'AbidjanAbidjan 3,125,855
Département d'AlépéAlépé 96,219
Département de DabouDabou 138,861
Département de Grand-LahouGrand-Lahou 85,981
Département de JacquevilleJacqueville 52,871
Département de SikensiSikensi 57,534
Département de TiassaléTiassalé 176,041
Région de la MarahouéBouaflé9,114554,805
Département de BouafléBouaflé 236,311
Département de SinfraSinfra 170,015
Département de ZuénoulaZuénoula 148,479
Région des MontagnesMan16,600936,502
Département de BangoloBangolo 132,942
Département de BiankoumaBiankouma 122,224
Département de DananéDanané 221,485
Département de KouiblyKouibly 42,366
Département de ManMan 324,542
Département de Zouan HounienZouan Hounien 92,943
Région du Moyen-CavallyGuiglo14,150508,728
Département de BloléquinBloléquin 93,758
Département de DuékouéDuékoué 198,047
Département de GuigloGuiglo 166,331
Département de ToulépleuToulépleu 50,592
Région du Moyen-ComoéAbengourou6,900394,741
Département d'AbengourouAbengourou 288,211
Département d'AgnibilékrouAgnibilékrou 106,530
Département de BettiéBettié 39,339
Région du N'zi-ComoéDimbokro19,480633,922
Département d'ArrahArrah 65,007
Département de BocandaBocanda 84,039
Département de BongouanouBongouanou 134,915
Département de DaoukroDaoukro 112,188
Département de DimbokroDimbokro 81,158
Département de M'BahiakroM'Bahiakro 66,608
Département de M'BattoM'Batto 47,708
Département de Prikro  42,299
Région des SavanesKorhogo40,430929,673
Département de BoundialiBoundiali 132,128
Département de FerkessédougouFerkessédougou 197,725
Département de KorhogoKorhogo 415,414
Département de KoutoKouto 31,297
Département de OuangolodougouOuangolodougou 51,877
Département de SinématialiSinématiali 37,592
Département de TengrélaTengréla 63,640
Région du Sud-BandamaDivo10,727682,021
Département de DivoDivo 319,262
Département de GuitryGuitry 131,556
Département de LakotaLakota 147,741
Département de FrescoFresco 83,462
Région du Sud-ComoéAboisso7,619459,367
Département d'AboissoAboisso 222,031
Département d'AdiakéAdiaké 59,112
Département de Grand-BassamGrand-Bassam 136,891
Département de TiapoumTiapoum 41,333
Région de la Vallée du BandamaBouaké28,2001,080,432
Département de BéoumiBéoumi 119,328
Département de BotroBotro 24,216
Département de BouakéBouaké 588,498
Département de DabakalaDabakala 103,583
Département de KatiolaKatiola 133,245
Département de NiakaramadougouNiakaramadougou 32,407
Département de SakassouSakassou 79,155
Région du WorodougouSéguéla22,195378,463
Département de KaniKani 19,176
Département de KounahiriKounahiri 14,611
Département de MankonoMankono 191,494
Département de SéguélaSéguéla 153,182
Région du ZanzanBondoukou38,131700,999
Département de BondoukouBondoukou 242,203
Département de BounaBouna 150,484
Département de Koun-FaoKoun-Fao 28,057
Département de NassianNassian 28,279
Département de SandegueSandégué 51,213
Département de TandaTanda 164,470
Département de TransuaTransua 36,293
total 322,46315,366,298

Main cities

namepopulation
1988-03-01
census
population
2009
estimate
Abidjan1,929,0794,007,000
Bouaké329,850642,700
Daloa121,842241,020
Korhogo109,445..
Yamoussoukro106,786..
Man88,294..
Gagnoa85,563..
source: Institut National de la Statistique, Côte d'Ivoire.

Côte d'Ivoire

Official name:
the Republic of Côte d'Ivoire
Name in native language:
Côte d’Ivoire (la)
Capital:
Yamoussoukro
ISO country code
CI
Nat. statistical agency:
Institut National de la Statistique
Region:
Western Africa

Census Results

1975-04-30 : 6,709,600
1988-03-01 : 10,815,694
1998-11-21 : 15,366,298