mercredi 26 juin 2013

Mangou, le general traitre et fuyard.

Desormais dans l'armee ivoirienne, le nom de Mangou sera synonyme de traitrise et de fuite. Les Ex-FDS qu'il  a mene a la guerre sans pour autant y participer lui ecrivent une note.


26/06/2013

Après son interview, des FDS se sentant trahis par le Gl MANGOU, lui écrivent une lettre

Mangou traître, Gl TraitreLES MILITAIRES TRAHIS PAR LE GENERAL MANGOU

           A monsieur Mangou
Après avoir pris connaissance de l’interview que le General Mangou a accordée au journal Fraternité Matin N° 14563 du samedi 15 juin 2013, nous, éléments des forces armées nationales de Côte d’Ivoire (FANCI), ayant servi sous ses ordres, ne pouvons rester indifférents face à certains propos tenus par lui dans cette déclaration :
 « Le Président Alassane Ouattara a fait de moi un ambassadeur pour me permettre de vivre cette nouvelle expérience qui est très bonne.
Je voudrais profiter pour lui dire un très grand merci pour cette nomination. Le Président en faisant montre à tous qu’il n’ya vraiment pas de haine dans son cœur qu’il tend la main à tous les enfants de la Côte d’Ivoire sans exclusion, pour que chacun puisse apporter sa pierre au processus.
Tous les ivoiriens doivent savoir que quand nous avons servi un Président avec détermination loyauté et fidélité et qu’un autre est élu par le peuple souverain de Côte d’Ivoire on se doit de le servir avec la même fidélité loyauté et détermination. Certains ne le comprennent pas. Ils parlent de trahison. Il faut être animé d’esprit Républicain. C’est ce que nous faisons. » 
Notre démarche est de monter à ce Général que lorsqu’on danse avec un aveugle, il faut lui marcher souvent sur les pieds pour qu’il sache qu’il n’est pas seul sur la piste de danse.
Notre analyse se portera d’abord sur la notion d’esprit Républicain qu’il prétend avoir, ensuite sur la trahison dans laquelle il dit ne pas se reconnaitre et enfin sur le fait qu’il dise que Alassane OUATTARA a bon cœur parce qu’il l’a nommé.
Ambassadeur, de quoi s’agit-il ?

1/ De l’esprit Républicain
De quel esprit  Républicain parle le GENERAL Mangou ? Etes-vous bien placé pour parler d’esprit Républicain ? Avez-vous mis en pratique la prestation de serment que fait tout officier avant sa remise d’épaulettes ? Nous disons non. Peut-être que vous l’avez oublié, nous, nous faisons le devoir de vous rappeler que ce serment demande à  tout officier de respecter la constitution, les lois et les institutions de son pays au prix de sa vie.
L’histoire récente de notre pays a montré que vous le GENERAL Mangou vous êtes un officier Général fuyard un officier qui n’est pas DELTA ( qui n’est pas digne dans le jargon militaire). Oui nous pesons bien nos mots. Un officier fuyard est un indigne ne peut pas se vanter d’avoir un esprit Républicain.
Mon Général vous qui êtes allé jusqu’au grade de Général de corps d’armée vous pouvez faire allégeance à un Président élu, proclamé vainqueur par le Conseil Constitutionnel qui a prêté serment et vous dédire après ?
Nous pensons que vous un GENERAL de corps d’armée de surcroit Chef d’Etat Major cela aurait été impossible. Mais vous, vous l’avez fait. Pouvez-vous qualifier cet acte d’esprit Républicain ? Nous vous disons non.  Là, vous avez raté de monter dans le train de l’histoire de notre jeune  nation. Pensez-vous qu’aujourd’hui, un seul officier peut vous prendre pour modèle ? Nous disons non, mon Général.
Votre gallon de Général de corps d’armée ne pourra qu’aller à l’oubliette. Ce gallon a été un gâchis pour la République. Vous êtes considérés aujourd’hui par tous vos frères d’armes comme un GENERAL fuyard, peureux, qui peut prétendre à tout sauf à un esprit Républicain.
2/ De la trahison
Mon Général, qu’est ce que vous voulez qu’on comprenne ? Que vous êtes un bon GENERAL ? Mon GENERAL, vous ne l’êtes pas. Vous avez non seulement trahis le peuple de Côte d’Ivoire, mais toutes les institutions de la République et vos frères d’armes.
N’est-ce pas vous qui, voulant répondre à SORO Guillaume, le vendredi 21 janvier 2011, lorsque BLE GOUDE accompagné par les membres de la galaxie patriotique étaient allés dans les locaux de l’Etat Major vous inviter officiellement au stade Champroux, qui avez dit que SORO GUILLAUME rendra compte à Dieu de ses actes de meurtres et qu’il sache que pour vous et les FDS, « la mort est gain » ?
N’est-ce pas vous qui avez dit au stade Champroux de Marcory le dimanche 23 janvier 2011, après que vous avez déjà fait allégeance au Président  LAURENT GBAGBO en décembre 2010 que vous avez des armes de destruction massive et que vous êtes prêts à vous battre contre tous ceux qui vont piétiner la constitution ivoirienne et s’attaquer aux ivoiriens ? L’objectif  de cet appel n’était-il pas de demander aux troupes de rester fidèles au Président élu LAURENT GBAGBO ?
Etait-ce un autre GENERAL Mangou qui avait lancé ces propos au stade Champroux devant des milliers de jeunes ivoiriens ? C’est bien vous non ! Mais le moment venu de se battre, qu’avez-vous fait ? Vous vous êtes rendu nuitamment au GOLF HOTEL (QG de campagne d’ALASSANE OUATTARA) sans donner de contre ordre aux troupes. Vous avez fui. Comment qualifie  t- on cet acte, mon GENERAL ? Nous vous disons  que c’est ça qu’on appelle la trahison.
Quand vous donnez des ordres aux FDS leur disant de replier tous sur Abidjan pour organiser la défense de la capitale, et qu’avant qu’ils n’arrivent tous à Abidjan vous avez déjà pris la poudre d’escampette fermant tous vos téléphones sans contre ordre, comment pouvez vous qualifier cette attitude ? C’est ça qu’on appelle la trahison, mon GENERAL.
Quand vous appelez les jeunes à s’enrôler dans l’armée à partir de mars 2011, et que vous faites ce recrutement massif et que vous les abandonnez pendant qu’ils sont encore en formation comment qualifiez-vous cette attitude ? Mon GENERAL c’est ça la trahison !
Quand au moment du combat pendant que tout le peuple s’attendait à ce que vous vous battiez jusqu’au bout et que ce peuple constate que vous avez fui laissant vos subalternes sur le terrain. Comment qualifiez-vous cette attitude ? C’est la trahison, mon GENERAL.
Tous ces soldats qui sont morts parce qu’ils ont cru en leur Chef d’Etat Major qui les a abandonnés en chemin sans contre ordre n’ont-ils pas été trahis par vous ? Vous serez toujours hanté par le sang de tous ces militaires pour l’éternité.
Mon GENERAL, vous avez trahis vous-même l’armée de Côte d’Ivoire, le peuple de Côte d’Ivoire, les institutions de la République, vos frères d’armes de la Gendarmerie Nationale, de la Police Nationale, de la Douane, des Eaux et Forêts, de la Marine Marchande. Vous avez trahis même vos propres gardes de corps dont le Chef qui se surnommait J.C Côte d’Ivoire, vous cherchait dans toute la Capitale ne sachant pas où vous êtes. Vous n’êtes pas un GENERAL digne.
3/ Du bon cœur d’ALASSANE OUATTARA
Venant de vous qu’Alassane OUATTARA a un bon cœur ne vous surprend pas. Cependant, nous vous rappelons qu’il vous a nommé ambassadeur non pas parce qu’il a bon cœur, mais pour le service que vous lui avez rendu en trahissant le peuple de Côte d’Ivoire, les institutions de la République et vos frères d’armes à son profit.
Nous savons que vous, GENERAL Mangou, saviez cela à moins à moins que vous n’ayez pas de conscience.
Sachez que beaucoup de vos frères d’armes sont en  prison, en exil ou traqués par celui qui a un «  bon cœur » pour vous parce qu’il vous a nommé ambassadeur.
Pourquoi tous ces militaires sont-ils en prison, en exil, traqués, alors qu’ils ont servi sous vos ordres pendant que vous, vous êtes nommés ambassadeur ?
Mon général, avant de vous quitter, nous voulons vous faire remarquer que vous n’êtes pas un modèle pour la côte d’Ivoire et pour l’armée ivoirienne. Pourriez-vous regarder un seul instant dans le rétroviseur et vous comparer au général Ouattara Thomas d’Aquin qui fut GENERAL de corps d’armée comme vous ? Nous disons non ; car vous ne pouvez même pas vous comparer au dernier soldat sur l’éthique militaire à plus forte raison à ce grand GENERAL.
Quand nous, militaire voyons aujourd’hui la descendance du GENERAL d’Aquin, nous leur vouons un grand respect à cause de la grandeur de leur père. Mais vous, vos descendants seront hués à cause de votre trahison.
Aucun statut ne pourra être érigé en votre honneur dans ce pays comme celle du général d’Aquin connue à l’ENSOA de Bouaké que nous avons tous saluée fièrement lors de notre passage dans cette école ; car au panthéon de l’histoire des généraux traitres, vous occupez une place de choix.
Rappelez-vous de ce que le GENERAL Dogbo Blé vous a dit au Golf Hôtel pendant qu’on le maltraitait sous vos yeux. Oui, vous êtes un lâche mon GENERAL. Vous ne méritez pas d’être appelé Général, vous êtes le dernier des soldats en Côte d’Ivoire.
Permettez nous maintenant de vous tutoyer parce que ne méritant plus d’être vouvoyé par un seul soldat de la Côte d’Ivoire digne de ce nom.
Nous militaires de Côte d’Ivoire (officiers, sous-officiers, militaires de rang) des Forces Armées Nationales de Côte d’Ivoire (FANCI) T’ANATHEMATISONS.
« La malédiction te suivra jusqu’à ta descendance » car l’histoire de la Côte d’Ivoire qui s’écrit à présent retiendra qu’il fut un chef d’Etat Major, général de corps d’armés, du nom de Philippe Mangou qui a trahi son peuple, les institutions de son pays et ses frères d’armes. Qu’il a pris la fuite face à l’agresseur, livrant ses subalternes à la mort. Oui Philippe Mangou, tu demeures fuyard, un lâche, un traitre.
Un conseil : taches désormais de faire attention à tes déclarations si non, tu vas entendre des choses qu’on ne t’a jamais dites en publique te concernant. Et cela est aussi valable pour les amis traitres comme Detho Letho, Kassaraté Tiapé Edouard, Brindou M’bia qui sont de la même trempe de traitre comme toi.
Des gens comme toi qui trahissent, doivent éviter de prononcer certains mots dans leurs déclarations. Ils doivent faire profil bas ! Mais au fait, monsieur Mangou, dites-nous, qu’est ce que cela te fait de savoir que le président Laurent Gbagbo, ton bienfaiteur est aujourd’hui à la Haye, alors que tu te prévaux du grade de GENERAL de corps d’armée qu’il t’a conféré ?
Que dire aussi de tous ces militaires ayant cru en toi et que tu as trahis ? Simple question de conscience ! A bon entendeur, salut.
  

mercredi 19 juin 2013

10 ans après: Des révélations sur les casses de la BCEAO


10 ans après: Des révélations sur les casses de la BCEAO


Les spectaculaires casses des agences de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Bceao) font le buzz sur la toile depuis 48h.

A la faveur de la visite effectuée par le président de l'Assemblée nationale, Guillaume Soro, au Sénégal la semaine dernière, un site sénégalais a exhumé l'affaire. On se souvient qu'un an après l'éclatement de la rébellion en septembre 2002, soit en 2003, les agences de la Bceao de Bouaké puis Korhogo et Man avaient été braquées par des rebelles d'alors. L'on avait spéculé sur les sommes faramineuses sorties des coffre-forts des différentes agences. La Banque elle-même n'avait pas communiqué au grand public, le montant exact emporté lors de ces attaques.

Au Sénégal où le leader de l'ex-rébellion, Guillaume Soro, était en visite la semaine dernière, le dossier des casses de la Bceao a fait et fait encore grand bruit. C'est que des journalistes sénégalais s'y étaient intéressés au point de mener des investigations, ayant abouti à des accusations portées contre l'ancien président Abdoulaye Wade.

Selon eux, l'ex-chef de l'Etat sénégalais était trempé dans l'affaire en permettant aux auteurs des casses de blanchir leur butin à Dakar.

1O38 MILLIARDS VOLES

S'agissant des billets sortis des coffre-forts, l'on avance maintenant la faramineuse somme de 1038 milliards de F. CFA. « Une évaluation complète du préjudice causé à la Banque centrale a été faite. Les montants dérobés dans les trois agences s'élèvent à 1038 milliards de FCFA. Cet argent a d'abord été placé au Burkina Faso, base arrière de l'ex-rébellion, avant d'être convoyé au Sénégal en avion», rapporte en effet le site d'information sénégalais derniereminute, cité par Koaci.ci.

L'argent volé aurait été blanchi avec des complicités au plus haut sommet du gouvernement sénégalais d'alors et la direction de la Bceao. «Parce que, sans la complicité de la BCEAO elle-même, il était impossible de blanchir cet argent qui a été par la suite injecté dans le circuit», croit savoir le confrère, qui ajoute que ce trésor a été investi dans l'immobilier, la restauration et l'hôtellerie au Burkina Faso et dans bien des pays africains et même au Brésil, où certains auteurs de ces casses se sont offert des ranchs.

Le confrère avance par ailleurs que, suite à une enquête promise par Charles Konan Banny, gouverneur de la Bceao à l'époque, toutes les personnes impliquées dans ce coup fumant ont été listées, mais l'affaire est restée sans suite. «Dix ans plus tard, on a vu les résultats. Les cerveaux de ces attaques n'ont jamais été inquiétés et aucune communication n'a été faite sur les pertes causées à la banque», note le site sénégalais.

Et pourtant, l'ancien chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, avait déposé à l'époque des faits, une plainte contre X, après avoir reçu le rapport que lui avait adressé la ''mission exploratoire'', suivie de la ''mission pluridisciplinaire'' dépêchée par Banny sur les lieux en son temps. C'est du moins ce que rapportait Jeune Afrique dans son édition du 20 décembre 2003.

DES CHEFS D'ETAT DANS LE COUP

Mais, ces poursuites judiciaires sont restées sans suite. A l'époque, la France, rapporte pour sa part le confrère ''L'Eléphant déchaîné'', avait voulu faire arrêter tous les cerveaux des attaques, mais des chefs d'Etat, dont les pays ont tiré parti du fruit de ces casses, n'ont pas voulu s'associer à l'initiative des autorités françaises, au risque de se mettre en difficulté. Dix ans après ces braquages, le dossier ne semble pas être sorti des esprits. Au Sénégal où l'affaire avait conduit à des poursuites contre un journaliste et un homme politique du nom de Amath Dansoko, sous le régime d'Abdoulaye Wade, le dossier des casses de la Bceao est loin d'être rangé au placard.

La preuve, dans une interview accordée il y a quelques jours au site sénégalais seneweb, Amath Dansoko est revenu sur ses accusations quant au rôle joué par les anciens dirigeants sénégalais dans cette affaire. «Je maintiens que l'argent a été blanchi ici à Dakar. Le ministre des Finances ivoirien de l'époque l'a dit ici, et personne n'a protesté. Il (Ndlr. : Wade) s'acharnait contre Banny (Ndlr. : ancien directeur de la banque) (…) la suite sur L'inter...

source: Journal L'inter

mardi 18 juin 2013

LA BCEAO de la ville de Man depuis le vol de la rebellion en 2003.

Aujourd'hui les memes rapaces sont assis sur la bource de l'etats de Cote D'ivoire et on espere que de ce groupe quelque chose de bon sortira de ce pays. Continuons de rever tous.



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Le vol est endemique sous le regne de ces memes

Abidjan, le 18 juin 2013 © koaci.com - KOACI.COM apprend ce jour d’une source sécuritaire que cinq individus ayant contribué au braquage de la CECP de Touba auraient été interpelés ce jour au corridor de Duékoué avec la somme de 48 millions de FCFA.

Au nombre de ces individus figurerait, selon nos informations, un élément des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) en service à l’Etat-major de Côte d’Ivoire au Plateau.

L’identité de cet élément des FRCI reste pour l’heure inconnue. Néanmoins KOACI.COM a tenté de vérifier cette information auprès de militaires joints par téléphone à l’Etat-major.

«Nous nous ne pouvons rien vous dire en ce moment. Donnez-nous quelques jours pour vérifier l’info » a déclaré notre premier interlocuteur sous le couvert de l’anonymat.

La position du second ne variera pas non plus. Ce dernier a martelé qu’il s’apprêtait à vérifier l’information. 

En attendant d’avoir d’autres informations dans les jours à venir, cette actualité survient dans un contexte où les responsables de l’armée ivoirienne tentent d'extirper les militaires braqueurs, dont certains ne font pas officiellement partie de la nouvelle armée, des rangs des FRCI.

Wassimagnon 

mercredi 5 juin 2013

Soldier Assigned To AFRICOM Angry, Confused After Landing In Germany

Soldier Assigned To AFRICOM Angry, Confused After Landing In Germany

  3 JUNE 2013   |  BY ARMYJ 
africom personnel headquarters germany
Personnel assigned to AFRICOM pose for a picture in front of a deep Afro-German jungle.
STUTTGART, GERMANY — A soldier assigned to Africa Command appeared extremely confused and angry after landing in Germany, which is apparently not Africa, or even in Africa, sources confirmed.
After his transport plane landed, Private First Class Eric Lynch could hardly contain his excitement after “receiving the posting of his dreams” at AFRICOM.
The newest combatant command, AFRICOM is responsible for the entire continent of Africa except Egypt.
Envisioning visits to exotic locales, Lynch dreamed of travelling from South Africa to the Sahara on myriad adventures, befriending local tribesmen, and collecting souvenirs that would be the envy of his peers the world over. “I thought maybe I might even write a book about my journeys when it was all over,” Lynch told reporters.
Unfortunately for Lynch, none of that would come to pass. The young soldier — who did absolutely no research into the command — was dismayed when the bus from the airport dropped him off at Kelley Barracks in Stuttgart, Germany, and the sergeant greeted him with, “welcome to AFRICOM!”
“It was such bullshit,” sobbed the grief stricken private. “If I wanted to go to Germany I would have asked for European Command. Who the hell put the AFRICOM headquarters in Germany? Probably the same dumbass that decided to put the 10th Mountain Division in a place with no fucking mountains.”
“We understand Private Lynch’s concerns,” said Maj. Kevin Spoelstra, the Executive Officer of AFRICOM’s 490th Civil Affairs Battalion. “They’ve been expressed by almost every soldier that arrives here to the Command, but he doesn’t have to worry. He’ll have plenty of opportunities for adventure and combat during his exciting tour.”
Spoelstra told reporters that AFRICOM strives to patrol the entire continent, “whether it’s standing on a table at Frühlingsfest, shopping for appliances at Media Markt, or having a picnic on the grass in front of Schloss Solitude.”
Back in the barracks, Lynch continued his rant, digging through his duffel bag and producing a massive Ziploc bag full of pills.
“Look at this! 10,000 doses of doxycycline. I thought maybe it was a mistake when I didn’t get issued any before the flight, and I thought to myself there’s no way in hell I’m getting Malaria when I travel all over the continent,” Lynch said. “I had to get an old drug dealer buddy of mine to hook me up. Bastard charged me two grand for all this. And I’m not even sure this is doxy. Sure the dreams are wicked, but everything’s so green. What a waste!”
The despondent Lynch slumped down on his bed as the rainy German weather continued outside, unabated. However, not all soldiers assigned to the command shared the same views.
“I absolutely love this place,” declared Specialist Antwan Jefferson, an intelligence analyst. “Have you ever actually been to Africa? Not one goddamn Doner Kebab on the whole continent.” Jefferson shook his head and took another large bite of his delicious-smelling, shaved meat sandwich.
“Besides, where else could you see something like this?,” nodding to the proprietor of the restaurant, Karim Attabul — a large Middle-Eastern man who swayed to the sounds of Turkish disco while wearing a purple and green polyester shirt buttoned halfway, exposing an enormous gold medallion nestled in a black expanse of silky chest hair.
Despite the prevalence of the ever-popular kebab snack at restaurants and street carts, Lynch remained depressed.
“I’ll be honest with you man, the real reason I requested this gig … ” Lynch said, lowering his voice and looking out into the barracks hallway to ensure no one was within earshot, “is this hot piece of ass right here.” Lynch then held up a copy of a bare-chested woman on the cover of National Geographic for reporters.
He reached under his bunk and produced another large box. “I’m not an idiot. I know there’s a huge STD problem over there. That’s why I took precautions.” He opened the container to reveal almost 200 cartons of Trojan condoms.
“Guess that’s another thousand bucks down the drain,” Lynch said, hanging his head and sighing. “I’m such a dumbass.”


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dimanche 2 juin 2013

Syria rebels clash with Hezbollah in Lebanon

Syria rebels clash with Hezbollah in Lebanon

Several killed as Lebanese fighters clash with Syrian rebels in first face-to-face confrontation inside Lebanon.


At least one member of Lebanon's Hezbollah group has been killed overnight in clashes with Syrian rebels in Lebanon's eastern border region.
Lebanese security sources reported the death on Sunday, saying that about 15 rebels had also been killed in the violence, east of Baalbek in the Bekaa Valley.
The conflict in Syria has been increasingly spilling over to its smaller neighbour, with deadly fighting shaking the northern Lebanese city of Tripoli, and rockets hitting the Bekaa Valley and Beirut's southern suburbs.

Syrian rebels have said they will carry out attacks inside Lebanon in response to Hezbollah's support for President Bashar al-Assad's assault on Qusayr, a strategic town for rebel weapons supplies and fighters coming into Syria from Lebanon.
Al Jazeera's Rula Amin, reporting from Beirut, said there were reports that the latest clash started when Hezbollah fighters came across rebels setting up rocket launchers close to Baalbek.
"It is the first time we have seen a face-to-face clash between rebels and Hezbollah fighters inside Lebanon," our correspondent said.
"There have been rocket attacks on Hezbollah strongholds in that area before, and so it is not a surprising development that rebels are trying to target this town.
"It is significant that there has been a clash inside Lebanese territory as it shows how determined the Syrian rebels are to target Hezbollah strongholds. It also shows how vulnerable Lebanon has become that they were able to cross the border."
Safe passage
Meanwhile, the Syrian government has responded to calls from international aid organisations for civilians trapped in the flashpoint Syrian city of Qusayr to be evacuated, as rebel fighters faced a fresh assault.
Syrian state TV reported that the foreign minister has said the International Committee of the Red Cross (ICRC) will be allowed into Qusayr "as soon as military operations are over".
UN agencies and the ICRC appealed to both sides in the fighting on Saturday to let the civilians, including an estimated 1,500 wounded, leave the embattled town.
Britain circulated a draft declaration at the UN Security Council, voicing "grave concern about the situation in Qusayr".
Eyewitness account from Qusayr
Russia, however, blocked the draft because the UN had failed to speak out when Qusayr was seized by rebels more than a year ago.
The government’s military campaign on Qusayr started two weeks ago, in an attempt to regain control of the strategic city bordering Lebanon. It is believed that Hezbollah has sent an estimated 1,700 fighters to support the government's assault.
Syrian forces have recently captured the northern district of Arjun in Qusayr, leaving rebels little chance to escape.
Activists said that escape routes for civilians have become unsafe. They reported this week that a a convoy of civilians seeking to flee Qusayr was attacked by Syrian forces.
Ceasefire needed
UN emergency relief coordinator Valerie Amos and High Commissioner for Human Rights Navi Pillay said there was "an urgent need of immediate evacuation for emergency medical treatment".

But a humanitarian corridor could only be created if both sides agreed, Rupert Colville, a spokesperson for Pillay, told Al Jazeera.
"There should be a ceasefire at least and they let the civilians and the wounded get out and also let some aid in as well. Civilians who stay behind will need food and water," Colville said.
The control of Qusayr is essential for the rebels as it is their principal transit point for weapons and fighters from across the border in Lebanon.
It is also strategic for the government because it is located on the road linking Damascus with the Mediterranean coast, its rear base.
Source:
Al Jazeera and agencies

Crisis in Turkey

What is Happenning in Istanbul?



To my friends who live outside of Turkey:
I am writing to let you know what is going on in Istanbul for the last five days. I personally have to write this because most of the media sources are shut down by the government and the word of mouth and the internet are the only ways left for us to explain ourselves and call for help and support.
Four days ago a group of people who did not belong to any specific organization or ideology got together in Istanbul’s Gezi Park. Among them there were many of my friends and students.  Their reason was simple: To prevent and protest the upcoming demolishing of the park for the sake of building yet another shopping mall at very center of the city. There are numerous shopping malls in Istanbul, at least one in every neighborhood! The tearing down of the trees was supposed to begin early Thursday morning. People went to the park with their blankets, books and children. They put their tents down and spent the night under the trees.  Early in the morning when the bulldozers started to pull the hundred-year-old trees out of the ground, they stood up against them to stop the operation.
They did nothing other than standing in front of the machines.
No newspaper, no television channel was there to report the protest. It was a complete media black out.
But the police arrived with water cannon vehicles and pepper spray.  They chased the crowds out of the park.
In the evening the number of protesters multiplied. So did the number of police forces around the park. Meanwhile local government of Istanbul shut down all the ways leading up to Taksim square where the Gezi Park is located. The metro was shut down, ferries were cancelled, roads were blocked.
Yet more and more people made their way up to the center of the city by walking.
They came from all around Istanbul. They came from all different backgrounds, different ideologies, different religions. They all gathered to prevent the demolition of something bigger than the park:
The right to live as honorable citizens of this country.
They gathered and marched. Police chased them with pepper spray and tear gas and drove their tanks over people who offered the police food in return. Two young people were run over by the tanks and were killed. Another young woman, a friend of mine, was hit in the head by one of the incoming tear gas canisters. The police were shooting them straight into the crowd.  After a three hour operation she is still in Intensive Care Unit and in  very critical condition. As I write this we don’t know if she is going to make it. This blog is dedicated to her.
These people are my friends. They are my students, my relatives. They have no «hidden agenda» as the state likes to say. Their agenda is out there. It is very clear. The whole country is being sold to corporations by the government, for the construction of malls, luxury condominiums, freeways, dams and nuclear plants. The government is looking for (and creating when necessary) any excuse to attack Syria against its people’s will.
On top of all that, the government control over its people’s personal lives has become unbearable as of late. The state, under its conservative agenda passed many laws and regulations concerning abortion, cesarean birth, sale and use of alcohol and even the color of lipstick worn by the airline stewardesses.
People who are marching to the center of Istanbul are demanding their right to live freely and receive justice, protection and respect from the State. They demand to be involved in the decision-making processes about the city they live in.
What they have received instead is excessive force and enormous amounts of tear gas shot straight into their faces. Three people lost their eyes.
Yet they still march. Hundred of thousands join them. Couple of more thousand passed the Bosporus Bridge on foot to support the people of Taksim.
No newspaper or TV channel was there to report the events. They were busy with broadcasting news about Miss Turkey and “the strangest cat of the world”.
Police kept chasing people and spraying them with pepper spray to an extent that stray dogs and cats were poisoned and died by it.
Schools, hospitals and even 5 star hotels around Taksim Square opened their doors to the injured. Doctors filled the classrooms and hotel rooms to provide first aid. Some police officers refused to spray innocent people with tear gas and quit their jobs. Around the square they placed jammers to prevent internet connection and 3g networks were blocked. Residents and businesses in the area provided free wireless network for the people on the streets. Restaurants offered food and water for free.
People in Ankara and İzmir gathered on the streets to support the resistance in Istanbul.
Mainstream media kept showing Miss Turkey and “the strangest cat of the world”.
***
I am writing this letter so that you know what is going on in Istanbul. Mass media will not tell you any of this. Not in my country at least. Please post as many as articles as you see on the Internet and spread the word.
As I was posting articles that explained what is happening in Istanbul on my Facebook page last night someone asked me the following question:
«What are you hoping to gain by complaining about our country to foreigners?»
This blog is my answer to her.
By so called «complaining» about my country I am hoping to gain:
Freedom of expression and speech,
Respect for human rights,
Control over the decisions I make concerning my on my body,
The right to legally congregate in any part of the city without being considered a terrorist.
But most of all by spreading the word to you, my friends who live in other parts of the world, I am hoping to get your awareness, support and help!
Please spread the word and share this blog.
Thank you!
For futher info and things you can do for help please see Amnesty International’s Call for Urgent Help
Görsel
Taken from Occupy Gezi Facebook page. Also used by Reuters

samedi 1 juin 2013

Affrontement Gendarmes - commando du Nord 1 mort, plusieurs personnes arrêtées.




D’intenses combats ont opposé, dans la journée d’hier vendredi, 31 mai 2013, entre 9 h et 11 h, des éléments de la gendarmerie nationale et une bande puissamment armée, composée, essentiellement, d’anciens supplétifs des Frci, issus de la communauté Peulh.


Ces derniers, oubliés de l’Addr, en font voir de toutes les couleurs aux populations de la région du Hambol où ils multiplient, depuis quelque temps, des actes hautement criminels.

Attaques à mains armées, braquages, attaques de véhicules de transport, extorsions de fonds… Les affrontements ont eu lieu, dans la région du Hambol, notamment, sur l’axe Katiola-Dabakala, à la hauteur du village de Timbé, situé à 15 Km de la ville. Selon des sources sur place, un (1) « assaillant » a été tué lors des fusillades.

Ces assaillants, qui se font appeler « commando du Nord » s’étaient embusqués dans la haute broussaille, avant d’ouvrir le feu sur un convoi de la gendarmerie nationale de passage. Il s’en est suivi des tirs nourris qui ont fait un mort. Des éléments du commando se sont fondus dans la savane.

Hier, le commandant supérieur de la gendarmerie, le général Gervais Kouassi s’est rendu sur les lieux. Un dispositif des Frci (gendarmes et militaires) a été installé et la sécurité, avons-nous appris, a été considérablement renforcée.

Des perquisitions menées, simultanément à Katiola et Dabakala ont permis, aux forces de l’ordre d’opérer des arrestations et des saisies. Des armes ont ainsi été découvertes dans des domiciles d’individus ayant des liens directs avec ce « commando du nord ». Les gendarmes ont également mis la main sur des munitions et des cagoules.

Ces assauts de ce commando du Nord interviennent au moment où l’annonce d’une visite d’Etat, dans le Nord, du chef de l’Etat, Alassane Ouattara a été faite, officiellement, par le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Ahmed Bakayoko. Mais, la neutralisation de ce commando devrait être plus ou moins aisée, dans la mesure où il a un visage. Il s’agit, en effet, de « jeunes Peulhs » installés dans la région, que les Frci, avaient enrôlés.

Aujourd’hui, laissés-pour-compte par l’Addr, ils ont décidé de se « servir » au moyen des puissantes armes dont ils disposent. Ils continuent, selon des sources d’occuper le camp d’entrainement et de formation du commandant Touré Hervé, dit Vétcho.

Armand B. DEPEYLA

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