lundi 23 janvier 2012

Qui est Phillip Carter?


Photo of Phillip Carter III
Phillip Carter III
Ambassador
COTE D'IVOIRE
Term of Appointment: 08/23/2010 to present
Prior to his appointment as U.S. Ambassador to the Republic of Cote d’Ivoire, Phillip Carter served as a Senior Advisor to the Africa Bureau and previously as Principal Deputy Assistant Secretary from 2008 to 2010.  He also was as the Africa Bureau’s Acting Assistant Secretaryduring the transition between the Bush and Obama Administrations.  From 2007 to 2008, Phillip Carter was the U.S. Ambassador to the Republic of Guinea. Ambassador Carter has also served as the Director for West African Affairs and the Deputy Director in the Office for East African Affairs at the U.S. State Department.
Prior to that assignment, he was the Deputy Chief of Mission (DCM) at the U.S. Embassy in Antananarivo, Madagascar and DCM in Libreville Gabon. Before his arrival in Gabon in 1997, he was an international financial economist in the State Department's Office of Monetary Affairs in the Bureau of Economic and Business Affairs. During this period, he dealt with international debt and capital matters and served as the Department's point-person on International Monetary Fund (IMF) issues with AfricaFrom 1992-1994, he served as the Economic and Commercial Counselor at the U.S. Embassy in Dhaka, Bangladesh.
Prior to Bangladesh, Ambassador Carter was the Economic and Commercial Officer in Lilongwe, Malawi for three years. From 1987-1989, he worked in the Department's Office of Caribbean Affairs as a desk officer responsible for bilateral matters concerning the Dominican Republic, Haiti, and the Eastern Caribbean, as well as regional economic issues such as the Caribbean Basin Initiative. From 1982-1986, he served as the Deputy Principal Officer at the U.S. Consulate General in Winnipeg, Canada and as vice consul at the U.S. Embassy in Mexico City.
Ambassador Carter received a M.A.in international and development economics from Yale University and earned a B.A. in economics and history from Drew University where he was a member of the International Economics Honor Society (Omicron Delta Epsilon). He is the recipient of a Superior Honor Award, Franklin Award, and several individual and group Meritorious Honor Awards. He speaks French and Spanish. A member of the Senior Foreign Service, Ambassador Carter holds the rank of Minister Counselor.

Mensonge et Propagande de Guerre


Media-mensonges et propagande de guerre !

* Lizzy Phelan, journaliste britannique indépendante qui témoigne de ce qu'elle a vécu en Libye : 
http://www.dailymotion.com/video/xm0nvx... 


**** Kadhafi responsable de l'attentat de Lockerbie : TRES PROBABLEMENT FAUX 

http://www.geostrategique.net/viewtopic... 

http://www.lefigaro.fr/international/20... 


**** Kadhafi responsable de tyrannie pendant 40 ans de règne : FAUX, non seulement les libyens vivaient parmi les plus aisés de la planète depuis la Jamahiriya mais Kadhafi aidait également d'autres pays africains 
- Kadhafi en voiture parmi son peuple : 
http://www.youtube.com/watch?v=__muNznE1RA 

- Au Mali, Mouammar Kadhafi a beaucoup investi pour l’amélioration des conditions de vie des populations : 
http://www.laube.ml/2011/10/21/carnet-d... 

- La mort de Kadhafi crée désolation et frustration chez les Nigériens 
http://www.actuniger.com/societe/310-so... 


**** Kadhafi était d'ailleurs détesté par son peuple : FAUX 

- Pourquoi les Libyens aiment le colonel Kadhafi ? 
http://www.enquete-debat.fr/archives/po... 

- En juillet 2011, 1,7 millions de libyens sur les 3,5 millions d'adultes qui vivent en libye, manifestent leur soutien à Kadhafi : 
http://www.youtube.com/watch?v=7g-alO_7L-I 
http://www.youtube.com/watch?v=iHGVjPVT0RU 


**** Kadhafi était responsable de charniers : FAUX 

http://www.cameroonvoice.com/news/artic... 


**** Kadhafi avait attaqué son peuple par aviation et tué 6000 civils : FAUX 

- Aucun massacre n'a été documenté en Libye ! 
http://www.youtube.com/watch?v=KXiuhujDvFs 

- Libye : 6000 morts avant l’intervention ? 
http://www.michelcollon.info/Libye-6000... 

- Le « front des images » et les bombardements sur Benghazi 
http://www.michelcollon.info/Le-front-d... 

- Même le procureur de la cours pénal international est obligé d'admettre aujourd'hui que, PEUT-ETRE, il y aurait eu dans les 200 morts à Bengazi au début du conflit armé (et pas du tout d'un soulèvement populaire) ! 

- Guerre Humanitaire en Libye : Il n'y a pas de preuve de crimes de Kadhafi ! 
http://rutube.ru/tracks/4906792.html?v=...

Apres 1 an au pouvoir, La France ne voit pas d'avancee democratique en Cote D'Ivoire.

Paris veut voir en Abidjan le visage de la démocratisation de l`Afrique
Publié le lundi 23 janvier 2012   |  AFP


© Getty Images 



La France, qui reçoit le président ivoirien Alassane Ouattara avec faste cette semaine, veut voir se concrétiser les promesses d`une démocratisation de l`Afrique au nom de laquelle elle a engagé les armes à Abidjan au risque de nourrir un vieux procès en ingérence.

"Le principe qui domine aujourd`hui est le soutien à des processus
(démocratiques) pas à des hommes", assure une source diplomatique à Paris.
Dans la foulée du Printemps arabe, c`est au nom de l`espoir démocratique qu`ils incarnaient que le président Sarkozy avait invité en mai 2011 au G8 de Deauville les dirigeants fraîchement élus de Côte d`Ivoire, de Guinée et du Niger.

Longtemps vitrine française de l`Ouest africain, la Côte d`Ivoire,
cinquante ans après la décolonisation, reste un partenaire symbolique dans une relation bilatérale marquée ces dix dernières années par des crises violentes.

La visite d`Etat du nouveau président ivoirien de mercredi à samedi,
assure-t-on à Paris, "montre l`attachement de la France à la démocratie en Afrique". Un continent où "les progrès de la démocratie sont incontestables", a réaffirmé vendredi Nicolas Sarkozy dans ses voeux au corps diplomatique.

En 2007, le candidat Sarkozy avait promis une vraie rupture dans les
relations franco-africaines, qu`il voulait transparentes et rénovées. En 2008, le président avait affirmé que Paris n`avait pas vocation à rester "le gendarme de l`Afrique", annonçant avec fracas depuis l`Afrique du Sud anglophone la révision de tous les accords de défense avec ses anciennes colonies francophones, au risque de froisser les vieux alliés.

Trois ans plus tard, les canons français tonnaient à Abidjan, suscitant la colère de la rue dans plusieurs pays africains, une ONG comme Survie qui milite "pour en finir avec la Françafrique", condamnant ces réseaux d`influences et accords secrets ayant longtemps caractérisé les relations entre Paris et ses ex-colonies.

Paris répète n`être intervenu qu`à la demande de l`ONU. "On n`y va plus seul", rappelle une source diplomatique. Et déplore qu`on nage encore "en plein fantasme sur la puissance de la France en Afrique".

Mais pour Antoine Glaser, spécialiste des relations franco-africaines, "la crise ivoirienne a fait régresser la France dans sa volonté de sortir de son pré-carré".

"Elle est intervenue militairement en Côte d`Ivoire le dos au mur, mais elle est intervenue, créant une situation qui peut être à son avantage pour la défense des intérêts économiques français mais qui entretient l`ambiguité dans sa relation au continent", affirme-t-il.

Quant au renouvellement des alliances, il a fait long feu, en dépit d`un sommet Afrique-France de 2010 avec comme invités stars les deux géants anglophones, Afrique du Sud et Nigeria. Pretoria s`est depuis opposée à Paris dans plusieurs dossiers régionaux -- dont la crise ivoirienne et le dossier malgache -- et le Nigeria est surtout préoccupé par ses problèmes sécuritaires domestiques.

"La France n`a jamais réussi à sortir de son habit de colonisateur. De fait, elle a besoin des voix des alliés africains à l`ONU et elle a du mal à sortir d`une politique d`accompagnement", avance Antoine Glaser.

Au crédit de Nicolas Sarkozy, les observateurs soulignent qu`il a soldé le passif des années 90, avec l`Angolagate et le Rwanda, au gré de dénouements judiciaires propices à la normalisation de relations abîmées par le scandale des ventes d`armes en Angola et les accusations mutuelles entre Paris et Kigali depuis le génocide rwandais.

"On est passé d`une politique de cooptation des dirigeants à un lobbying plus soft, au nom de la démocratie. Mais le fil rouge reste
l`approvisionnement énergétique de la France: le pétrole du Golfe de Guinée, l`uranium du Niger", conclut M. Glaser.